Le passage de la rue Niepce, à Lyon, est fermé au public depuis 25 ans. C’est sur ce chemin, autrefois dissimulé par la végétation, que Muriel Théron a été étranglée et violée, son corps laissé à l’abandon dans les fourrés. La lycéenne de 17 ans avait simplement voulu prendre un raccourci pour attraper son bus.

Après un non-lieu et une réouverture du dossier, la principale chance de voir un jour la résolution de ce crime réside dans l’ADN inconnu retrouvé sur la scène de crime. Une chance que Nanterre a maintenant l’opportunité de saisir.

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