Il est 2h40, une nuit de décembre 2008, à Budapest. Ophélie Bretnacher, une étudiante française de 22 ans, en Erasmus dans la capitale hongroise, sort du bar où ses amis et elle fêtaient la St Nicolas. Ophélie rentre seule chez elle, une maison située dans les collines de Buda, sur l’autre rive du Danube, où elle est fille au pair.
La ville est sûre, parsemée de caméras de surveillance qui retraceront plus tard son itinéraire illogique aux yeux de ses proches. La jeune femme s’est en effet détournée de son trajet pour emprunter le Pont aux Chaînes. Et c’est sur ce pont qu’Ophélie disparaît, ne laissant derrière elle que son sac à main.
C’est en aval du pont, à cinq kilomètres de là , que son corps est retrouvé le 12 février 2009, plus de deux mois après sa disparition. Les légistes sont formels, la mort est due à une noyade. Mais l’affaire est étrange. Comment cette jeune femme sportive, prudente, aurait-elle pu tomber du pont ? Et pourquoi a-t-elle dévié de son itinéraire initial ?
Une enquĂŞte exclusive Ă retrouver dans son intĂ©gralitĂ© sur l’application Black-Track. TĂ©lĂ©chargez dès maintenant l’application, rejoignez l’enquĂŞte et ajoutez vos signalements.Â